Si vous aspirez à une pause immersive au cœur de paysages extraordinaires, mon itinéraire dans les Pyrénées-Orientales est l’aventure qu’il vous faut. Des sommets majestueux aux plages méditerranéennes, suivez-moi à travers vallées verdoyantes, villages authentiques et trésors culturels. Préparez-vous à plonger dans la richesse naturelle et culturelle de ce coin préservé du sud de la France. Suivez-moi pour un voyage où chaque journée réserve son lot de surprises et d’émerveillements. L’itinéraire idéal pour explorer les Pyrénées-Orientales vous attend, prêt à dévoiler ses secrets captivants sur plusieurs jours d’aventure.
Au programme de cet itinéraire dans les Pyrénées-Orientales
Pyrénées-Orientales : la carte pour se repérer
Pyrénées-Orientales : les lieux à visiter
Le Racou
C’est un coin reculé, au sud d’Argelès-Plage et au nord de Collioure, que j’explore grâce à ma communauté. Le hameau du Racou, niché dans une anse entre mer et montagne, abrite un vieux village où l’affluence explose en haute saison. « Racou », qui signifie « recoin » en catalan, trouve sa pleine signification ici. Situé à la jonction entre la côte sableuse au nord, la côte rocheuse au sud et le déferlement des Pyrénées dans la mer par le massif des Albères, c’est l’un des lieux les plus caractéristiques du littoral catalan. D’anciennes cabanes de pêcheurs, aujourd’hui reconverties en résidences secondaires en bord de plage, offrent un cadre idyllique pour profiter de cette vaste étendue de sable. Des petites allées ensablées, agrémentées de fleurs et de végétation, confèrent à ce hameau un charme unique. Les chanceux propriétaires de ces maisons, aujourd’hui estimées à une fortune, font le bonheur des estivants. Il faut dire que la mer est juste en face, et le léger retrait du Racou lui offre un avantage de taille. Ici, ce sont les privilégiés qui savourent leurs vacances, les maisonnées se faisant rares pour satisfaire tout le monde ! Malgré l’affluence touristique explosive en été, le village n’a pas perdu son authenticité. Le Racou a su préserver ses dimensions modestes, et il est tout aussi plaisant de lézarder sur la plage de sable que de s’attabler aux terrasses des cafés et des restaurants.
Baixas
Je suis toujours sur les routes de l’arrière-pays catalan, à environ dix kilomètres au nord-ouest de Perpignan, lorsque j’atteins le petit village de Baixas. Mon intention est principalement de faire une randonnée plutôt que de visiter le village. Cependant, quelle agréable surprise de découvrir un charmant petit village, avec ses ruelles fleuries, ses bâtiments colorés et son atmosphère préservée. Une authenticité qui règne partout et qui est épargnée par le tourisme de masse. Le village, l’un des plus anciens du Roussillon (Xe siècle), est doté de cinq portes d’entrée, de neuf tours de guet et d’une église. Il a su préserver son identité médiévale. En continuant vers les hauteurs, ce sont les vignobles qui dominent le paysage à perte de vue. Je prends la direction de l’Ermitage Sainte-Catherine, une simple chapelle rurale typique de la région des villages catalans. Un parking gratuit marque le point de départ de ma randonnée à travers les paysages de vignobles et les promontoires rocheux. Dès le début, je suis récompensé par une vue magnifique sur le Fenouillèdes, le bassin de Perpignan, le massif des Albères, la vallée de l’Agly, le pic du Canigou et la mer Méditerranée au loin. Le sentier est accessible et sans difficulté, me permettant d’atteindre un premier plateau en environ 45 minutes. Pour les plus aventureux, il est possible de grimper jusqu’au sommet du Roc Redoun à 328 mètres d’altitude, reconnaissable grâce à ses antennes, en fournissant un effort supplémentaire. Une autre option consiste à descendre le long d’un sentier étroit vers le village de Cases-de-Pène et son Ermitage Notre-Dame-de-Pène. Le cadre est tout simplement sublime, et je suis ébloui par la beauté sauvage de la région, offrant certains des paysages les plus impressionnants des Pyrénées-Orientales. Une fois arrivé sur les marches de l’ermitage, je déjeune en admirant un panorama exceptionnel. Il convient de noter que la zone de randonnée n’est pas particulièrement ombragée, il vaut donc mieux éviter les journées de fortes chaleurs, qui peuvent rapidement devenir étouffantes. Comme toujours, je rappelle l’importance de respecter la nature et de ramasser ses déchets.
Les Orgues d’Ille-sur-Têt
Je suis à une trentaine de minutes de Perpignan, roulant en direction du site protégé des Orgues d’Ille-sur-Têt. Il s’agit d’une curiosité géologique qui semble tout droit sortie d’une autre planète, tant le paysage, sculpté par la nature, est lunaire ! Ces formations sont en réalité constituées de sable et d’argile, façonnées par l’érosion au fil du temps. On pourrait les comparer à des cheminées de fées, atteignant une dizaine de mètres de hauteur, chacune ayant sa singularité. C’est un endroit amusant pour essayer de discerner des formes d’animaux ou de visages sculptés dans la roche. Le site est relativement petit, ce qui permet de le parcourir en un temps assez court. Bien que ces colonnes semblent figées, elles sont en réalité très fragiles et vulnérables aux caprices de la météo. Il n’est donc pas permis de les escalader, mais vous pouvez les immortaliser avec votre appareil photo. Je me sens vraiment privilégié de pouvoir contempler ce décor qui, un jour, disparaîtra. Pour apprécier pleinement la magie de cet endroit, il est conseillé de le visiter tôt le matin ou en fin de journée, lorsque les premiers ou les derniers rayons du soleil créent de magnifiques couleurs sur les formations rocheuses.
Céret
Mon exploration des Pyrénées-Orientales se poursuit avec la découverte d’une petite ville pittoresque, Céret, qui incarne parfaitement la vie catalane. Je traverse le Pont du Diable, un autre pont au nom évocateur, pour accéder à cette véritable perle aux couleurs de la Catalogne. Selon la légende, la construction du pont aurait été entravée par le Diable, d’où son nom ! Cependant, cela ne perturbe en rien ma progression sur ce pont qui me mène directement au cœur de la ville. Céret me charme avec ses sublimes ruelles pavées, ses jolies places ombragées par les platanes, ses nombreux restaurants et cafés à chaque coin de rue. L’ambiance bucolique et la douceur de vivre se ressentent dans toute la ville. Le labyrinthe de ruelles est préservé de la chaleur par les anciens bâtiments qui sont construits très hauts et très rapprochés, une architecture héritée d’une époque où les villages étaient conçus ainsi pour se protéger des températures élevées. Céret est véritablement une ville à part, nichée entre le Canigou, la frontière espagnole et la mer Méditerranée. Une visite incontournable lors de mon séjour dans les Pyrénées-Orientales ! Si j’ai la chance de me trouver dans la région au mois de mai, je ne manquerai surtout pas la fête de la cerise. Céret est en effet la capitale de la cerise, et les premiers fruits sont traditionnellement envoyés au Président de la République lors de cette fête.
Gorges du Gouleyrous
À une trentaine de kilomètres au nord de Perpignan, en direction de Tautavel, je suis tenté par l’idée de me baigner dans les eaux douces des Gorges du Gouleyrous. Cependant, je tiens à vous avertir dès le départ : il est préférable d’arriver tôt si vous souhaitez profiter pleinement de ce site ! Le stationnement sur le parking payant est incontournable pour accéder aux Gorges du Gouleyrous. La route menant au site est étroite, donc il est quasiment impossible de se garer ailleurs. Bien que le parking soit payant, il est surveillé. Ces formations naturelles ont été sculptées par le Verdouble, une rivière prenant sa source dans l’Aude. Les Gorges du Gouleyrous forment un magnifique canyon avec une zone de baignade et une plage de galets, bien que relativement petite, surtout en période d’affluence. Le site, de plus en plus connu, rend difficile la recherche d’un endroit tranquille pour se baigner, bien que certaines personnes soient refroidies par les eaux fraîches. La rivière a sculpté les rochers de manière impressionnante, créant des piscines naturelles aux eaux émeraude de différentes tailles à certains endroits. Les falaises qui encadrent le cours d’eau sont très verticales et attirent les amateurs d’escalade de toute la région. Ce site ravira donc un large public, et son cadre vaut vraiment le détour.
Abbaye Saint-Martin-du-Canigou
Nouvelle randonnée dans les Pyrénées-Orientales particulièrement captivante, car je pars à la découverte d’une abbaye mystérieuse nichée sur un nid d’aigle, dominant discrètement la vallée du Cady depuis le XIe siècle. Cette abbaye se trouve dans la commune de Casteil, et son accès se fait exclusivement à pied, avec une marche d’environ 30 à 50 minutes, selon mon rythme. Le sentier serpente à travers une nature exceptionnelle, me conduisant progressivement à cet incontournable monument du patrimoine roman du Conflent. La randonnée convient aux familles en raison de son faible dénivelé. À la fin de mon effort, je découvre l’ancienne abbaye bénédictine de Saint-Martin-du-Canigou, perchée derrière un piton rocheux, avec des murs parfaitement restaurés par le peuple catalan à la fin du XXe siècle. Depuis 1988, l’abbaye est occupée par la Communauté des Béatitudes, qui accueille toute l’année des touristes et des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle pour des visites guidées d’environ une heure de l’abbaye et pour la liturgie. Elle offre également un lieu de ressourcement spirituel pour ceux qui souhaitent y séjourner quelques jours. Les visites sont proposées tous les jours de début juin à fin septembre, chaque heure entre 10h et 16h, avec une visite le dimanche également. Je fais un pique-nique en face du monument, sur une plateforme rocheuse qui offre une vue imprenable sur l’abbaye que je ne cesse de contempler. Le calme de ce cadre préservé et sauvage est tout simplement ressourçant, et la vue est tout bonnement magnifique !
Gorges de la Carança
Je m’enfonce à nouveau dans les terres pour découvrir les Gorges de la Carança, une zone située à une quinzaine de kilomètres à l’est de Villefranche-de-Conflent. Une fois garé sur le parking surveillé prévu à cet effet, j’entame ma marche et découvre un site géologique exceptionnel ! Alors que je longe la rivière de la Carança, je pénètre dans un décor mélangeant rochers, passerelles suspendues et corniches. Le panorama est vertigineux, offrant des sensations fortes. Après quelques minutes de progression, j’atteins un fabuleux sentier en corniche, creusé dans la roche. Ce passage long est un peu vertigineux, mais il est très bien sécurisé par une main courante. Des ponts suspendus et des passerelles bien aménagées permettent de franchir aisément les différents obstacles sur le parcours. Les sensations sont garanties, et je conseille la plus grande prudence lors de cette balade dans ce site hors du commun. Cette randonnée n’est pas recommandée pour les personnes ayant le vertige et les enfants de moins de 8 ans. Au bout de 4 heures d’efforts, j’ai été littéralement subjugué par la tranquillité des lieux et le faible nombre de visiteurs. J’ai ainsi pu profiter d’une randonnée dans un silence presque total et admirer une nature brute et sauvage. À noter qu’il existe plusieurs parcours balisés adaptés à différents niveaux de randonnée sur le site des Gorges de la Carança, pouvant être réalisés en quelques heures, sur une journée ou deux.
Evol
Rattaché au bourg d’Olette, le hameau d’Evol est tout à fait surprenant. D’abord, par ma situation géographique en haute montagne, où je me suis demandé si je n’étais pas perdu en m’enfonçant toujours plus loin dans ces contrées éloignées, coupées de toute civilisation. Ensuite, par son architecture étonnante, où toutes les maisons sont constituées de murs en schiste et de toits en lauzes, autrefois taillées par les habitants pendant l’hiver. En plus de l’activité pastorale, la pierre est véritablement l’élément clé du village. Les ruelles et les habitations se fondent dans une palette de gris. Pour des connaisseurs limités comme moi, la différence avec l’ardoise est mince, et les deux matériaux peuvent facilement se confondre. Quoi qu’il en soit, Evol est vraiment unique en son genre et j’ai particulièrement apprécié cette singularité. Cependant, ne vous attendez pas à trouver une quelconque vie commerçante ici, ni âme qui vive ! Le village semblait profondément endormi… Peut-être cela est-il dû au climat frais et pluvieux de ces montagnes, même en plein été ? La vue sur les reliefs des Pyrénées-Orientales est spectaculaire, et cette escapade en Pays Catalan mérite donc le déplacement.
Villefranche-de-Conflent
Le village de Villefranche-de-Conflent, situé au bord de La Têt, conserve toute la majesté de son histoire médiévale. Ses remparts, toujours debout, forment toujours une barrière protectrice. Ancienne capitale marchande du Conflent, la ville a su préserver son héritage historique. Les fortifications de Vauban datant du XVIIe siècle, ainsi que le Fort Libéria, ont récemment obtenu la reconnaissance du Patrimoine Mondial de l’UNESCO, garantissant leur préservation malgré le tourisme croissant. Les rues Saint-Jean et Saint-Jacques animent la vie commerçante du secteur. On y trouve des échoppes d’antan, des boutiques de souvenirs, des produits du terroir et des bibelots liés aux mythes et légendes, au milieu des maisons notables. Les remparts et le fort captivent les amateurs d’histoire, tandis que le Train Jaune, célèbre train touristique régional, me permet aux passionnés de géographie de m’élever dans les contrées de la Cerdagne et d’admirer les paysages grandioses sur les 63 kilomètres de trajet. Juste à la sortie de la ville, en face de la cité fortifiée, je découvre une activité plutôt insolite, non planifiée à la base : la visite d’une grotte privée gratuite, dont une partie est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Bernard, un monsieur passionné, m’accueille chaleureusement et sollicite naturellement un petit don en fin de visite. La « Cova Bastera », nom de la grotte, est accessible par un long escalier de pierres d’une centaine de marches. Bien que la roche puisse être glissante, la progression est sécurisée par des barres latérales. Une montée modérée pour accéder à une immense cavité rocheuse sombre et mystérieuse. Une atmosphère renforcée par les mythes et légendes des sorcières qui jalonnent la grotte ! En tout, une dizaine de salles sont à explorer, avec les explications fournies par le propriétaire à l’entrée, permettant de comprendre l’importance que cette grotte tempérée à 14 degrés, été comme hiver, a eu pendant les périodes d’occupation. Une manière ingénieuse de se camoufler dans la roche et de survivre à l’envahisseur en somme. La visite est rapide (~ 20 minutes) mais tout de même intéressante. Bien sûr, j’ai fait un petit don en sortant, pour encourager ce monsieur à accueillir encore longtemps les visiteurs curieux dans sa grotte privée, accessible à la hauteur de ses moyens !
Castelnou
Situé à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de Perpignan, Castelnou se dévoile comme un véritable trésor médiéval niché au cœur de la Vallée des Aspres. L’horizon est dominé par l’illustre massif du Canigou, emblème cher aux Catalans. Dès les premiers pas dans les ruelles pavées, l’atmosphère transporte dans un autre temps. Chaque recoin du village raconte une histoire, chaque pierre semble imprégnée d’une mémoire ancienne. Les maisons de caractère, parées de pierres aux teintes chaleureuses, rivalisent de charme avec les boutiques artisanales qui dévoilent des trésors d’artisanat local. Les portes centenaires dévoilent des détails architecturaux surprenants, tandis que le majestueux château vicomtal semble veiller sur l’ensemble, comme un gardien du temps. L’âme de Castelnou réside également dans ses bosquets fleuris qui, sous le généreux soleil catalan, offrent une profusion de couleurs et de parfums. Chaque coin de rue réserve une nouvelle découverte, une nouvelle perspective sur cette pépite médiévale. La quiétude qui se dégage du lieu, associée à cette ambiance intemporelle, confère à Castelnou une aura unique, en faisant une escale incontournable dans la région. Cependant, il convient de noter qu’en cette fin de saison estivale, le stationnement peut s’avérer onéreux, en dépit de l’absence de la plupart des artisans et de la fermeture du château pour travaux. Pour les passionnés de patrimoine, cette dépense s’avère être un investissement précieux pour savourer l’authenticité préservée de ce village exceptionnel.
Eus
L’arrivée sur Eus est véritablement spectaculaire… à condition que le soleil soit de la partie ! Malheureusement, lors de ma première visite, ce n’était pas le cas. Cependant, j’ai décidé d’attendre quelques jours à Perpignan avant de retenter ma chance. Et quelle décision judicieuse ! J’ai eu raison d’insister, car l’arrivée sur ce village est tout simplement époustouflante, rappelant l’effet saisissant que procure la découverte de Gordes dans le Vaucluse. Pour apprécier au mieux la splendeur de ce village perché entre la vallée du Conflent et le mont Canigou, il est conseillé de choisir un point de vue dégagé. Les maisons aux façades d’une blancheur éclatante, surmontées de tuiles orangées, se dressent fièrement au milieu d’un écrin de verdure luxuriant. Cet effet est d’autant plus envoûtant sous le soleil catalan, qui permet à Eus de dévoiler toute sa splendeur. L’ascension jusqu’à l’Église Saint-Vincent-D’en-Haut demande un certain effort, mais une fois arrivé, la récompense est à la hauteur : une vue imprenable s’offre à moi sur toute la vallée. À travers les ruelles pavées et pentues, bordées de galets, on ressent fortement l’empreinte des traditions. Les petites échoppes, préservant le charme d’antan, et les places ombragées témoignent de l’authenticité du lieu. Eus est une véritable plongée dans le passé, où les influences françaises et espagnoles imprègnent l’architecture typique de la Catalogne. Un véritable bijou à découvrir.
Força Réal
Pour conclure mon séjour dans les Pyrénées-Orientales, je prends de l’altitude en compagnie d’un groupe d’amis résidant dans la région, pour me rendre à Força Réal, un sommet culminant à 510 mètres d’altitude, situé à environ quinze kilomètres à l’ouest de Perpignan. Força Réal domine la vallée de la Têt et offre ainsi une vue imprenable sur des kilomètres à la ronde. J’emprunte un sentier pédestre qui me mène quasiment au sommet du site. Là, nous étendons une nappe champêtre au sol et improvisons un pique-nique entre amis, en attendant que la journée s’achève pour pouvoir admirer le coucher de soleil, qui promet d’être exceptionnel depuis ce point de vue. Le sommet, bien que privatif lors de notre visite en raison d’un tournage en cours, offre une vue s’étendant jusqu’à la Côte Vermeille, les Aspres, le Conflent, le massif des Corbières et l’étang de Salses. Un panorama incontournable et une façon magnifique de clore ce séjour enchanteur.
Au fil de mon exploration des Pyrénées-Orientales, j’ai été envoûté par la diversité saisissante de cette région. Les randonnées à travers les sentiers sinueux des montagnes, les rencontres chaleureuses dans les petits villages pittoresques et l’effervescence des villes principales comme Perpignan m’ont offert un aperçu authentique de la vie en Catalogne française. Chaque pas était une découverte, chaque village une histoire à raconter. Définitivement, les Pyrénées-Orientales promettent une aventure riche en émotions et en souvenirs inoubliables.